Club d'Aviron de l'Université de Montréal
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Témoignages de rameurs

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Sophie-charlotte dubé-moreau
Baccalauréat en psychologie, udem

"J’ai commencé l’aviron sur un gros coup de tête, mais je dois avouer que c’était probablement le plus beau coup de tête que je n’ai jamais eu. J’avais déjà fait plusieurs sports compétitifs, mais honnêtement, il n’y a rien de comparable à l’esprit d’équipe et au niveau de compétition que l’aviron apporte.
 
Tu crées des liens très rapidement avec les gens de ton équipe parce qu'il y a juste nous d’assez « fou » pour se lever à 5h00 pour aller ramer le matin à 6h00. Beaucoup dirons que «de toute façon t’a rien d’autre à faire que ça le matin » … Oui c’est vrai, mais je pense que c’est surtout la satisfaction de l’accomplissement qui vient après les entrainements qui nous pousse à revenir chaque matin. Je ne cacherai pas qu’il y en a eu des plus durs que d’autres, mais c’est ce qui forme l’endurance et surtout c’est ce qui montre que tu as la passion et la détermination de vouloir réussir et t’améliorer dans ton sport.
 
L’aviron c’est aussi un sport qui te pousse à tes extrêmes, autant physiquement que mentalement. Si on m’avait dit lorsque j’ai commencé que je pourrais un jour me pousser et me dépasser autant, je ne l’aurais pas cru, mais c’est ça l’aviron ! C’est un sport qui te pousse à te dépasser! Il n’y a rien de comparable avec le sentiment que tu as quand tu finis ton 2K sprint et que tu as battu ton propre temps ! Tu te dis que tu as enfin traversé une autre de tes limites et que la prochaine sera encore plus grande.
 
Ma première année d’aviron à concordé avec ma première session d’université et je ne regrette pas du tout d’avoir fait ce choix. Les deux ensembles t’apprennent des disciplines assez essentielles dans la vie : efficacité et organisation. Jumeler sport et étude ce n’est pas chose facile, mais je pense sincèrement que si tu es passionné par ton sport et bien il n’y a pas grand chose qui peut t’arrêter.
 
Ensuite, il y a le sentiment de famille qui grandit très rapidement entre les rameurs, veux veux pas on est tous les matins ensemble, on va à nos cours ensemble, on étudie ensemble (parce que soyons honnête y’a pas grand monde qui on le même horaire que nous) et on habite ensemble quand nous sommes en compétition. Ça c’est une autre chose aussi, habiter avec une « gang » de rameurs c’est toute une expérience, tu vas des blagues les plus stupides aux moments de stress juste avant les compétitions, et tout ça on le vit ensemble et on s’appuie là-dedans.
 
Les compétitions sont des moments uniques de notre saison, c’est à ce moment là que tous les efforts de la saison vont paraitre. Nous n’avons pas beaucoup de compétitions dans notre saison, mais on s’entraine tellement fort pour ces moments là que nous arrivons avec un seul but, c’est de gagner et nous sommes déterminés à le faire. C’est à ce moment là que tu dois te dire que peut importe ce qui arrive tu vas tout donner, que les gens de ton équipe comptent sur toi donc pas question de baisser les bras maintenant.
Si je pouvais te résumer l’aviron je pourrais te dire que c’est le plus beau sport qui existe, qui te pousse à tes limites les plus folles que jamais tu aurais pensé être capable d’atteindre, mais c’est pour ça que tu en ressors fier et la tête haute d’en avoir autant accomplis. "
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Charles-Antoine Lessard-Tremblay
​Baccalauréat en sciences économiques, UdeM

"Le sport a toujours occupé une partie importante dans ma vie, que ce soit au niveau secondaire, collégial ou maintenant universitaire. En arrivant à l’Université de Montréal, j’ai appris qu’il y existait un club d’aviron et c’est à ce moment que j’ai décidé d’en faire mon exutoire. Cependant, l’aviron me permet plus que de simplement y dépenser mon énergie. Bien évidemment j’ai déjà fait plusieurs sports d’équipes, mais aucun d’entre eux ne peut se comparer à l’aviron. Il existe peu de sports nécessitant une parfaite symbiose entre la technique et la force brute.

Je ne ferai pas de mensonge, ce n’est pas facile de se lever tous les matins pour aller pratiquer à 6h00. Cela nécessite de faire choix et des sacrifices mais bon sang que ça en vaut la peine! Je pourrais parler des milles et unes anecdotes du club, du nombre d’amitiés que j’ai forgé, mais la chose m’ayant le plus marqué au courant de mes deux années est le sentiment si fort de fierté qu’on a lorsqu’on donne le dernier coup de rame lors d’une régate.
​
​Bref, qu’est-ce que l’aviron? L’aviron c’est des milliers de coups de rames, des centaines d’heures de pratique, huit individus ramant dans le même but jusqu’à en être malade et un bateau. Voilà ce que c’est. Finalement, je suis reconnaissant envers ce sport, car grâce à lui j’ai pu grandir en tant qu’individu tout en devenant plus rigoureux et persévérant lorsque j’entreprend des projets. Que ce soit pour atteindre de nouveaux sommets ou pour simplement découvrir un nouveau sport, venez essayer l’aviron au Club d’Aviron de l’Université de Montréal."
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Brendan Martin-Kapfer
Génie mécanique, Polytechnique

"J'ai toujours été quelqu'un de sportif. J'ai fait du soccer, de l'athlétisme, du basketball, du waterpolo, et tellement d'autres. Mais s'il y a un sport qui a une place particulière pour moi, c'est bien l'aviron.

D'abord, il y a le sentiment de puissance d'être sur l'eau, avec 7 autres gars qui pousse avec toi et une barreuse (personne de petite taille (désolé An!)) qui te crie après; des fois, on a l'impression de voler. 
Ensuite, le mouvement a aussi quelque chose de magique : tout ton corps travaille. Tes jambes, puis ton dos et enfin tes bras. À la fin d'une course, tu as mal partout, tu es à bout de souffle, mais tu peux vraiment dire que tu as tout donné. Les compétitions sont mémorables. Première régate à Ottawa, les beautés du site à Toronto, la compétition d'ergomètre à Québec, ramer sous le déluge à Saratoga (NY) et la plus grosse régate d'Amérique du Nord à Philadelphie.
Enfin, l'esprit d'équipe. Car il est vrai que s'entraîner à 6 h tout les matins, c'est spécial, surtout quand il y a 1 m de neige dehors. Mais les liens que l'ont tissent avec les autres rameurs deviennent très fort.


Ces dernières années au CAUM m'auront permis de découvrir un sport passionnant, remplies d'obstacles et de leçons, mais aussi remplies de nouvelles amitiés et de souvenirs impérissables."
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Cyprien Grau
Baccalauréat en administartion des affaires, HEC

"L'aviron, pour moi, au début, ce n'était qu'une expérience. J'avais vu un reportage sur ce sport, et il m'avait paru comme un défi à relever.

J'y ai trouvé une véritable passion! J'ai pratiqué beaucoup de sports avant l'aviron, mais nul n'a réussi à provoquer chez moi autant de sensations que ce que j'ai trouvé dans l'aviron. Physiquement, c'est extrêmement éprouvant, mentalement, c'est encore pire, mais on se sent dans une équipe, secondé, épaulé par tous nos coéquipiers qui forcent, souffrent et se donnent à fond autant, voire plus que nous. Alors, on se sent pousser des ailes, et on rame, non pas pour son plaisir ou son orgueil personnel, mais pour toute l'équipe.

Certes, se lever tous les matins à 5h peut être vraiment difficile au début, mais finalement, c'est un rythme à prendre, qui assainit même notre mode de vie: pas de longues veilles inutiles devant notre ordinateur: à minuit, il faut être couché, sinon, le lendemain sera bien ardu à affronter.


Bref, l'aviron est un sport extraordinaire, que je suis fier de pratiquer, et qui m'apporte beaucoup au quotidien: rigueur, assiduité, valeur de l'effort et du courage."
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Paul Martin
Baccalauréat en science politique, UdeM

"Parler de l’aviron? Je ne suis pas trop sûr par où commencer, il y a tellement à dire. 
Le début est toujours difficile. Huit garçons dans un petit bateau qui tentent d’aller vite avec des énormes rames peut être un scénario catastrophe, surtout quand c’est la première fois. Alors on y va doucement au début. D’abord on maîtrise les jambes, puis vient le dos, et on finit avec les bras; mais ça ne finit pas là. Chaque rameur doit être parfaitement synchronisé avec tous les autres, et là ça devient difficile. Alors tous les matins on vient s’entrainer en se disant qu’un jour on pourra ramer comme le bateau de l’autre équipe qui nous nargue tous les jours, et puis soudain, un coup de rame, et c’est parfait. Huit gars poussent ensemble, ouvrent leurs dos sur la même cadence, lèvent leurs mains en même temps, puis replongent leurs rames dans l’eau sans une éclaboussure. Autant dire qu’on s’est envolé. A partir de ce moment, on s’entraine sans fin pour reproduire cette sensation à chaque coup de rame, pour s’envoler toujours plus haut, et toujours plus vite. L’effort est parfait : sans impact, et complet. Le corps d’un rameur doit produire de la puissance à tous les niveaux, jambes, bras, dos, abdos... Mais l’effort n’est pas juste physique. On m’a dit un jour qu’à la fin d’une course, on n’est pas juste fatigué au niveau des muscles; la tête travail autant, sinon plus. Chaque mouvement du corps doit être parfaitement réfléchi, jusqu’à que ça devienne instinctif. Ton corps, celui de tes co-équipiers, et le bateau ne font plus qu’un.

Si l’aviron s’en tenait à ça, ce serait un sport génial, mais l’aviron est un sport formidable. Cette équipe qui s’envole, elle le fait ensemble, il n’y a pas d’alternative, alors les liens se tissent. Quand le réveil est difficile le matin, on fait l’effort, parce qu’ailleurs, ton co-équipier fait la même chose. Quand on est fatigué pendant une course, on n’abandonne pas, et on pousse toujours plus fort, parce que derrière toi, ton co-équipier fait la même chose. Sur terre, on est deux, quatre, ou huit. Sur l’eau, on est un, et c’est cette unité qui crée des liens incomparables dans une équipe de rameurs. 


L’aviron est un sport formidable qui demande ténacité, persévérance, et endurance. Je ne peux que recommander ce sport à quiconque se pense capable de relever ce défi, car les récompenses qu’on en tire n’ont pas de prix. "
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